Un
marteau pneumatique frappe à l’intérieur d’un cylindre creux
et le fait avancer,
réalisant
un tunnel par compression du sol. Une canalisation ou un
fourreau de diamètre 45 à 300 mm peut ensuite être posée sur
une distance de 5 à 25 m. Non-dirigeable, elle peut être
équipée d’une sonde de localisation. |
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Un
train de tubes creux est enfoncé dans le sol à l’aide d’un
“marteau pneumatique” (ou de vérins).
La tête
est munie d’une “trousse” coupante. Les tubes en acier sont
soudés à l’avancement. |
Un
tube acier est poussé dans lequel une tarière assure
l’excavation et une vis sans fin l’évacuation des délais.
Cela
permet de poser les canalisations de 5 à 80 m mais aussi des
branchements de petit diamètre.
La
technique peut être complétée par un système de préguidage. |
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Dérivée
du forage vertical, cette technique de pose est réalisée en
trois phases :
– Un forage pilote est poussé dans le sol, sa tête biseautée
permet de la diriger avec une précision centimétrique.
– Des alésages successifs sont effectués afin d’agrandir le
trou pilote jusqu’à la dimension souhaitée (supérieure au
diamètre de la conduite à installer)
– La canalisation préalablement assemblée en surface est
tirée dans le trou alésé.
Un fluide de forage, aide à creuser, évacue les déblais,
lubrifie le tube. |
L’abattage
du terrain est réalisé en tête, par un microtunnelier
derrière lequel sont assemblé les tubes qui constituent le
tunnel.
La progression du microtunnelier est assurée depuis la
fouille de départ à l’aide d’un banc de poussée dont les
verins prennent appui sur l’arrière du puits |
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Un
tube acier est poussé dans lequel une tarière assure
l’excavation et une vis sans fin l’évacuation des délais.
Cela
permet de poser les canalisations de 5 à 80 m mais aussi des
branchements de petit diamètre.
La
technique peut être complétée par un système de préguidage. |