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La méthanisation : un nouveau débouché pour les entreprises de pose de réseaux.

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News concernant l'activité méthanisation

 

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News concernant l'activité méthanisation

Le méthaniseur de Saint-Antoine de Breuilh digère 17 000 tonnes de biomasse par an et produit de quoi alimenter 1 800 foyers en gazEn Dordogne, si huit méthaniseurs produisent déjà du gaz à partir de lisier pour une utilisation locale dans certaines exploitations agricoles, Saint-Antoine de Breuilh accueille le premier méthaniseur alimentant le réseau gaz de ville.
Le premier méthaniseur alimentant le réseau gaz de ville en Dordogne, fonctionne à partir de 17 000 tonnes de matières premières collectées dans un rayon n'excédant pas une heure de camion du site. Essentiellement les résidus de raisin issus des exploitations viticoles, des déchets de papeterie venus de Lalinde, et des résidus gras alimentaires. Autant de produits qui, digérés par des bactéries anaérobies (privées d'oxygène), comme dans un estomac de bovin, se transforme d'une part en méthane et d'autre part en résidu inerte utilisable comme fertilisant agricole. De ces 17 000 tonnes, on extrait de quoi alimenter 1 800 foyers en gaz pendant un an. Des chiffres modestes pour atteindre l'autonomie énergétique, mais les potentiels sont énormes et encore inutilisés. CVE estime que l'on pourrait produire 30 à 40% des besoins en gaz européens avec une méthanisation généralisée. Une demi-douzaine de projets similaires sont déjà à l'étude en Dordogne, et d'ici 2023, on pourrait compter une quinzaine de méthaniseurs publics ou privés dans le département.

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Evergaz, acteur français de référence dans le secteur du biogaz, poursuit son développement en France avec Dual Prémery, une unité de méthanisation innovante située dans la Nièvre (58).
L’essor d’Evergaz en France Après avoir annoncé en novembre 2021 l’acquisition du groupe allemand C4 et la gestion de 10 nouvelles centrales biogaz en Allemagne, Evergaz poursuit son développement en France avec le démarrage opérationnel de Dual Prémery, une unité de méthanisation située en région Bourgogne Franche-Comté, qui a injecté le 1er avril 2022 ses premiers mètres cubes de biométhane dans le réseau GRDF. Evergaz est actionnaire du site à hauteur de 30%, en partenariat avec Meridiam, aux côtés du groupe DualMetha1, actionnaire historique du projet. A travers ce projet de méthanisation territoriale, Evergaz réaffirme sa volonté de se développer en France et renforce son maillage territorial, tout en diversifiant son portefeuille sur le plan technologique. Cliquez-ici pour lire le communiqué

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Carte du projet RHYn - 2e projet de réseau de transport d’hydrogène en France Lors de la conférence tri-nationale « Hydrogène vert : projets phares et perspectives dans le Rhin Supérieur » du 5 avril 2022 à Bâle, GRTgaz a annoncé le lancement d’un second projet de conversion de réseau de transport de gaz naturel à l’hydrogène.
Situé en Alsace et baptisé RHYn (Rhine HYdrogen Network), ce projet a pour vocation de favoriser l’écosystème hydrogène du Rhin Supérieur en connectant à horizon 2028 la zone de Dessenheim avec la zone industrielle de Chalampé-Ottmarsheim, ainsi que l’agglomération de Mulhouse pour ses besoins en termes de mobilité.
Dans les phases suivantes, ce réseau pourra s’étendre au sud vers Bâle afin de proposer une alimentation de la zone aéroportuaire et au nord vers Marckolsheim pour desservir ses sites industriels.
Conformément à son engagement en faveur de la transition énergétique, dans un objectif de performance environnementale et économique, GRTgaz prévoit de maximiser la réutilisation des canalisations de gaz naturel existantes : sur une totalité de 100 km de réseau hydrogène, au moins 60 km proviendront de canalisations converties. La canalisation aura la capacité de transporter 125 000 tonnes d’hydrogène par an, l’équivalent de la production de 900 MW d’électrolyse et pourrait permettre la réduction des émissions de carbone jusqu’à 1 million de tonnes de CO2 par an. Cliquez-ici pour lire la suite

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Les travaux de maillage nord-sud du réseau de chaleur Hauts de Garonne, attribuée par Bordeaux Métropole, passent une étape importante avec le franchissement de l'avenue Carnot !
Avec quatre voies de circulation, cette avenue constitue un axe majeur de pénétration dans Bordeaux Métropole. Afin de réduire l'impact sur les usagers, les travaux ont été réalisés la nuit avec le rétablissement d'une circulation normale en journée. Au terme de ces travaux programmés sur 5 ans, le réseau alimenté par de la chaleur renouvelable principalement issue de la combustion des déchets et du bois fera appel à 85 % d’énergies renouvelables et de récupération pour chauffer 13000 équivalents-logements. La rénovation de 70% du réseau permettra une économie de plus de 17 000 m3 d’eau par an (élimination des fuites sur le réseau).et 2800 équivalents-logements supplémentaires pourront également bénéficier d’une énergie verte et locale pour se chauffer.
Créée en 2020, la société Hauts de Garonne Énergies, filiale d’IDEX (66%) et de Mixéner (34%), est dédiée à la Délégation de Service Public attribuée par Bordeaux Métropole pour la rénovation, l’extension et l’exploitation du réseau de chaleur des Hauts de Garonne. Le réseau de chaleur des Hauts de Garonne est alimenté en 3 points et par diverses sources d’énergie. Le mix énergétique est constitué de récupération de chaleur sur l’unité de valorisation énergétique (77%), de biomasse (8%) et de gaz (15%). Un réseau de canalisations d’une longueur totale d’environ 23 kilomètres relie les points de productions aux bâtiments à chauffer. De l’eau à une température d’environ 100°C circule en boucle afin de livrer la chaleur aux bâtiments raccordés. Le poste de livraison, nommé sous-station, est installé dans les bâtiments desservis. Ce poste de livraison remplace la chaufferie dans un mode de chauffage traditionnel, avec les inconvénients en moins : volume plus réduit et absence de combustible. La sous- station comprend un échangeur qui permet le transfert de la chaleur du réseau primaire à l’eau qui circule dans le circuit de chauffage du bâtiment (appelé réseau secondaire). C’est l’eau réchauffée de ce réseau secondaire qui vient circuler dans les émetteurs du bâtiment (radiateurs, planchers chauffants…) pour chauffer l’immeuble.

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Un méthaniseur, qui brasse ici plusieurs centaines de tonnes d'herbe
Dans l'Yonne, GRDF mise sur le biogaz. Se passer d'importations de gaz, c'est possible ? C'est la question que se pose GRDF. Dans l'Yonne, il y a deux méthaniseurs, dans le florentinois, qui produisent du biogaz et fournissent 3 000 logements des environs.
Le projet, de GRDF, c'est de mettre en service 10 méthaniseurs d'ici 2025, ils pourront couvrir 40% des consommations de gaz dans l'agglomération d'Auxerre, ou 12% de tout le département. "Et ce n'est pas le seul avantage : ça crée des emplois, non délocalisable" confie Thierry Gay, directeur territorial GRDF en Bourgogne Franche Comté. "On peut même aller plus loin : être 100% autonome sur notre production de gaz dans le département" conclut-il. Et pour lui, c'est tout à fait faisable : GRDF a fait appel à l'ADEME, l'agence de la transition écologique pour une étude, et le résultat est formel : oui, c'est possible, notamment car l'Yonne est un territoire agricole avec pas mal de matière, qui peut servir à la méthanisation. À terme, GRDF souhaite être 100% autonome sur la production de gaz vert d'ici 2050.

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CVE et ENGIE BiOZ ont inauguré à Saint-Antoine-de-Breuilh en Nouvelle-Aquitaine la première unité de méthanisation par injection implantée en Dordogne. Elle permettra de valoriser des matières organiques du territoire, générées dans un rayon maximum de 60 km autour de l’unité.
Le biométhane -énergie verte, locale et stockable sera injecté dans les réseaux de gaz naturel de Nouvelle-Aquitaine. Il produira également un engrais naturel qui sera valorisé pour les besoins de l’agriculture locale.Elle contribue à la valorisation des matières organiques de la région Nouvelle-Aquitaine, en traitant chaque année jusqu’à 20 000 tonnes de déchets provenant des distilleries, des industries agroalimentaires, des industries papetières et des filières agricoles de proximité dans un rayon de 60 km autour de l’unité. Celle-ci a été conçue pour être adaptée au flux et à la typologie des matières issues de son territoire, avec l’installation d’une technologie de digestion par piston, particulièrement adaptée à la valorisation des matières sèches qui composent la majorité des déchets traités par l’unité. Ceux-ci incluent notamment le marc de raisin issu des distilleries du territoire, qui représente 25% de la matière valorisée sur le site. Cliquez-ici pour lire la suite

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Pierre-Bénite (69): Station d’épurationLe conseil de la Métropole de Lyon a voté ce lundi une délibération portant sur des études relatives à la réalisation d’un méthaniseur à la station d’épuration de Pierre-Bénite.
Ce projet de méthaniseur permettra d’augmenter l’autonomie énergétique du territoire métropolitain, tout en produisant de l’énergie renouvelable et donc d’améliorer le bilan du territoire en matière d’émissions de gaz à effet de serre. Ce futur équipement qui devrait permettre de méthaniser les 12 000 tonnes de boues issues de l’épuration des eaux usées et produire 48GWh/an de biogaz, ce qui permettrait d’alimenter 190 bus ou bennes à ordures ménagères, ou bien de chauffer 8000 logements pendant un an. Par ailleurs, le projet prévoit également de valoriser le digestat issu de la méthanisation, "en privilégiant un retour au sol de cette manière riche en azote, qui se substituera aux engrais de synthèse".

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L'unité de méthanisation de Gommersdorf dans le Sundgau.En pleine flambée des cours de l'énergie, l'unité de méthanisation de Gommersdorf dans le département du Haut-Rhin en région Alsace a été inaugurée officiellement le 14 mars 2022.dans le département du Haut-Rhin en région Alsace
Une vingtaine d'agriculteurs se sont regroupés pour la faire tourner. "Ca permet une plus-value pour nos élevages, c'est un nouvel objectif pour les jeunes", souligne Vincent Dietemann, le président de Méthagaz et agriculteur participant. Les fumiers et lisiers représentent 80% des apports, avec 30.000 tonnes d'intrants par an. "Il est retraité, et du gaz de ville ressort au bout de la chaîne, c'est un gaz qui pollue 10 fois moins que le gaz de ville. C'est bénéfique pour tous le monde. Nous émettons moins de gaz à effets de serre sur nos exploitations et les habitants ont du gaz de ville plus vert. Ca devrait servir d'exemple dans le Sundgau, où il y a beaucoup d'élevages." L'unité de méthanisation de Gommersdorf représente un investissement de 15 millions d'euros financé en partie par la région Grand Est et le FEDER, les fonds européens. Un autre méthaniseur a été construit dans le Sundgau à Traubach-le-Bas.

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Pour Stéphanie Flament, agricultrice, la production de gaz vert apparaît comme la solution la plus pertinente pour contribuer à la transition écologique de son territoire tout en pérennisant son exploitation grâce à un revenu durable.
La SAS Biogaz Charmentray, unité de méthanisation agricole, prévue sur son exploitation à Charmentray (commune de Seine-et-Marne). va pouvoir produire, à partir de 15 500 tonnes d’entrants, 160 Nm3/h (normo mètre cube par heure), soit l’équivalent de l’alimentation pour 2 500 foyers neufs ou 69 bus roulant au BioGNV. Grâce à la première installation de « rebours » d’Île-de-France à Mareuil-lès-Meaux (Seine-et-Marne) qui permet de stocker du gaz renouvelable local excédentaire en le faisant remonter du réseau de distribution exploité par GRDF vers le réseau de transport de GRTgaz qui l’acheminera vers les territoires voisins pour une consommation immédiate ou vers des stockages souterrains pour une consommation future, la production de gaz vert du site de Charmentray ne sera pas saisonnalisée mais, au contraire, valorisée tout au long de l’année.

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Comment TotalEnergies compte devenir leader du biométhaneTotalEnergies accélère dans les gaz renouvelables et mise en particulier sur le biométhane, une composante en croissance de la transition énergétique.  TotalEnergies affirme son ambition Net Zero pour 2050, en tant qu’acteur majeur de la transition énergétique.
TotalEnergies est le premier producteur de biométhane en France grâce à l’acquisition de Fonroche Biogaz en janvier 2021, avec plus de 10 % de parts de marché. Renommée TotalEnergies Biogaz France, la filiale française dispose actuellement de près de 500 GWh de capacité d’injection et compte 7 sites installés en France, principalement dans l’Ouest. Ils ont quatre autres sites en développement, dont un en construction près de Pau.

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Agence de la transition écologique - retour à la page d'accueilL’ADEME et GRDF poursuivent leur coopération sur les gaz renouvelables et leurs usages
Laurence Poirier-Dietz, directrice générale de GRDF, et Arnaud Leroy, président de l’agence de la transition écologique (ADEME), ont signé un nouvel accord-cadre pour les trois prochaines années, à l’occasion du Salon International de l’Agriculture. Au travers de ce 5e accord commun, l’ADEME et GRDF poursuivent leurs travaux portant sur la place des gaz renouvelables dans le mix énergétique français et leurs atouts pour contribuer à l’atteinte de la neutralité carbone en 2050.
Le gaz vert reste au cœur de ce nouvel accord : Dans le cadre de cet accord, de nouvelles études seront lancées pour soutenir la dynamique de développement du biométhane, un gaz renouvelable produit localement à partir de la fermentation de déchets organiques. Des analyses techniques seront notamment réalisées, sur le devenir des méthaniseurs en cogénération et en fin de tarif d’achat. Pour porter la transition écologique au cœur des territoires, l’ADEME et GRDF poursuivront leur accompagnement auprès des collectivités en élaborant un nouveau guide visant l’optimisation du mix énergétique, et en leur faisant connaître les possibilités de valorisation du biométhane produit localement pour la mobilité ou le chauffage des bâtiments publics.

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Les unités de méthanisation Tiper, ouvertes en 2013 à Louzy, ont été la source de désagréments, que les porteurs du projet pensent pouvoir éviter.Officiellement créée en juillet 2021, la SAS Biomasse Thouarsaise, composée de 22 exploitations agricoles du Thouarsais a le projet de faire construire un méthaniseur à Thouars.
Cette unité, dont le coût est estimé entre 6,5 et 7 millions d’euros, sera censée pouvoir saturer le réseau de gaz de Thouars durant l’été, au cours de la meilleure saison pour la méthanisation. Le commencement des travaux est espéré pour le début 2023.
La communauté de communes du Thouarsais fait également office de partenaire dans ce projet. La collectivité, engagée dans le programme Tepos, ambitionne de produire autant d’énergie qu’elle n’en consomme à l’horizon 2050. Aujourd’hui, 86 % des besoins en électricité sont couverts par les énergies renouvelables. On n’est qu’à 29 % pour l’énergie thermique. Il y a encore du chemin, et la méthanisation est une des voies, Ce projet répond aussi à l’objectif de limiter l’émission des gaz à effet de serre.

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Brève : A Marigny-les-Usages, le chantier de l'unité de méthanisation d'Engie Bio avance à grands pas. Ce sera la première unité de méthanisation dans la métropole d'Orléans.
 
Brève : Le Grand Est est une des premières régions française en matière de biogaz issu de la méthanisation injecté dans les réseaux de gaz : 16 % du total France, qu’il s’agisse des installations ou des capacités maximales, selon GRDF.

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L’agglomération de Grand Chambéry démarre la construction d’une unité de traitement du biogaz, qui sera opérationnelle en 2023.
L’usine de dépollution des eaux usées de Chambéry sera l’une des 26 stations d’épuration française en mesure d’injecter du biométhane dans le réseau de GRDF.
Une fois traitée mécaniquement puis biologiquement, la partie solide des eaux usées (les boues), est récupérée et mis dans des digesteurs. Dans ces cuves, se produit un phénomène de fermentation qui donne la production de gaz et qui est stocké dans un gazomètret. Jusqu'à présent, ce gaz n’était pas perdu puisqu’il permettait de produire de l’électricité à travers une cogénération (le gaz est brûlé grâce à un moteur thermique ce qui produit de l’électricité). Il a fallu arrêter cela pour mettre en place l’unité de traitement du biogaz, donc en attendant la fin des travaux, ils sont  obligés de brûler temporairement le gaz sur une torchère se trouvant à côté du gazomètre.

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Appel à projets méthanisation Grand Est 2022 : En cours : Jusqu'au 05/05/2022 - 12:00 - Heure de Paris. Cet AAP vise les installations à caractère individuel ou collectif : un projet adossé à une exploitation agricole, une entreprise industrielle, une collectivité ou d’un projet multi-partenarial, une nouvelle installation ou l’adaptation d’une installation existante pour traiter des biodéchets. Cliquez-ici pour consulter l'appel à projets.

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GrDF qui compte 30 méthaniseurs en service sur la région Auvergne Rhône-Alpes, a livré, le 8 février, les résultats d’une étude, menée auprès de 2000 habitants de cette région, sur le gaz vert et sur la perception qu’ont les usagers.
37% des habitants de cette région, utilise déjà le gaz local, (issu d’une technologie basée sur la dégradation - par des micro-organismes - de déchets organiques). pour se chauffer. 61 % des habitants ont déjà entendu parler du biométhane et ils sont 33 % à savoir que le biométhane circule déjà dans le réseau gaz exploité par GRDF et 30 % qu’il est possible d’en consommer sans changer ses équipements gaz. 77 % des habitants interrogés ont une image positive du gaz vert et 69 %  sont prêts à le l'utiliser  dès à présent. Enfin, ils sont 68 % à penser que le gaz vert est une énergie d’avenir. Ces résultats montrent qu’il existe « de vraies attentes des consommateurs en matière de transition énergétique.

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Brève : La zone d’activité Ouest Park, située sur les communes de Louailles et du Bailleul (département de la Sarthe), devrait accueillir une usine dédiée à la production de gaz 100 % renouvelable. Le projet est en cours par Engie Biogaz, filiale d’Engie dédiée à la production de biogaz.

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Intertas 24.02.22 : La Ville de Montceau-Les-Mines vient de signer avec Moncia, filiale de ENGIE Solutions un nouvel avenant afin de poursuivre la transformation de son réseau de chaleur tout en accélérant la transition énergétique de son territoire.
Cette transformation a pour objectif de remplacer le réseau aérien par un tout nouveau réseau enterré basse pression, permettant un meilleur rendement tout en utilisant des énergies renouvelables et locales. Ce réseau de chaleur vertueux porté par Moncia en quelques chiffres c’est : 19 km de canalisations 8 721 tonnes de CO2 évitées par an 3 500 équivalents logements alimentés.  Pour en savoir plus, cliquez-ici

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Le projet de méthanisation d’Oudon Biogaz en Mayenne, est l’un des projets les plus ambitieux portés en France. Avec une production d’envergure (600Nm3/h envisagés), l’unité de méthanisation permettra de valoriser 136 233 tonnes par an d’intrants agricoles et végétaux en une énergie renouvelable et locale. Le projet représente un investissement global de 26,3 M€.
Les agriculteurs actionnaires du projet apporteront l’ensemble des effluents d’élevage ainsi que des matières végétales agricoles. Le digestat issu du processus sera valorisé localement comme fertilisant naturel, dont une partie sera compatible avec des cultures en agriculture biologique.
La construction de l’unité a démarré mi-janvier. La mise en service est prévue au troisième trimestre 2023. Dès son entrée en service, l’unité sera en mesure de produire l’équivalent énergétique de la consommation électrique moyenne de 20 000 foyers tout en économisant l’émission de 14 000 tonnes de CO2 par an. L’unité de méthanisation devrait contribuer par ailleurs à la création de 11 emplois

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Le méthanisateur Agri-biogaz de la Brie est en serviceLa méthanisation à injection directe poursuit son développement en Seine-et-Marne, département pionnier dans ce domaine. Quatre exploitants agricoles, soutenus par la Chambre d’agriculture de Région Île-de-France, Gaz réseau distribution France (GRDF) et Gaz réseau transport de gaz (GRTgaz), sont à l’origine de ce nouveau projet initié en 2018 à Limoges-Fourches, un village situé près de Melun. L’unité de méthanisation Agri-biogaz de la Brie est ainsi en service depuis le début du mois et injecte du biométhane dans le réseau GRDF.
Pour Benjamin et Marc Deloison, Mathieu Beaudoin et Thomas Proffit, les quatre dirigeants associés d’Agri-biogaz de la Brie, plus de trois ans auront donc été nécessaires pour voir ce projet se concrétiser entre études de faisabilité, acceptation des habitants, bouclage du budget et mise en œuvre du chantier. Cette nouvelle unité compte trois silos d’ensilage (conservation des fourrages par acidification) dotés de bâches et de filets de protection contre les oiseaux et les sangliers. Une seule trémie Terback de 120 m3 (sorte d’entonnoir en forme de pyramide inversée) permet d’alimenter le méthaniseur. Le site accueille également des bureaux et le stockage de certains intrants secs.
Pour ce démarrage, les quatre associés ont décidé d’opter pour une puissance de 190 nm3/h avant d’envisager de monter à 290 nm3/h. Pour préparer cette ouverture, le remplissage du méthanisateur a commencé un mois auparavant, début janvier, avec un apport hebdomadaire de quatre tonnes. L’objectif de cette opération était d’activer les bactéries.
À noter que ce nouveau site entend fonctionner de façon autonome sur le plan énergétique. En effet, le bâtiment est équipé d’une chaudière au biogaz, ainsi que d’une citerne permettant de récupérer les eaux de pluie. Les concepteurs comptent même installer des panneaux photovoltaïques, qui devraient couvrir 15 à 20 % de la consommation électrique du site. À terme, l’ambition d’Agri-biogaz de la Brie est d’alimenter le village de Limoges-Fourches (un peu moins de 600 habitants) en “gaz vert“ renouvelable et, pourquoi pas, les grandes villes voisines comme Moissy-Cramayel et Melun. (Source : lemoniteur77)

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Les gaz renouvelables : une chance pour la France : Les propositions de France gaz renouvelables.
Les derniers mois de 2021 et le début de l’année 2022 illustrent parfaitement le rôle central des questions énergétiques dans la vie quotidienne des Français mais surtout dans la construction de notre avenir commun. Le choix de notre mix énergétique est clé tant pour des raisons économiques que de souveraineté. Il constitue surtout notre principal levier pour lutter contre le changement climatique. Comme elle s’y est engagée, la France doit impérativement accélérer la décarbonation de ce mix énergétique, en substituant au plus vite des énergies renouvelables aux énergies fossiles encore trop utilisées par les consommateurs. Il y a urgence à répondre de la manière globale et la plus rapide et efficace à cet immense défi qui se dresse devant nous. Les gaz renouvelables, principalement issus de la méthanisation, possèdent tous les avantages pour participer activement à cette décarbonation du mix et à l'atteinte de la neutralité carbone. Cliquez-ici pour lire la suite du dossier

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Brève : Au 1er janvier 2022 l’association AILE recense 186 unités en Bretagne et 121 en Pays de la Loire. Ces chiffres concernent tous types d’unités : à la ferme, collectif agricole, centralisée , industrielle, collectivités et ISDND.

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Pour éviter le gaspillage de gaz,  l’unité de méthanisation Méthamaine à Meslay-du-Maine (Mayenne), va expérimenter en mars 2022,  un projet permettant le stockage d’excédent et favorisant l’injection de gaz verts.
Mardi 25 janvier 2022, sur le site de l’unité de méthanisation Méthamaine, GrDF et Territoire d’énergie Mayenne ont présenté le projet Flores (Flexibilité opérationnelle sur les réseaux de distribution), devant plusieurs élus du département, .
Un projet en complémentarité des solutions de rebours et maillage s’inscrivant dans un objectif, de la part de GrDF et Territoire d’énergie Mayenne, d’autonomie en matière d’énergie sur le territoire. Aujourd’hui, on va vers quasiment une autonomie complète, beaucoup plus vite qu’à l’échelle nationale, indique le directeur général adjoint de GrDF. Pour cela, le réseau de déploiement des réseaux se fait actuellement sur le département comme, dans le Sud-Mayenne, à Craon, par exemple. L’ambition est de créer  201 km de réseau de gaz sur la totalité du département et un investissement public de près de 15 millions d’euros pour obtenir une autonomie gazière.
Le programme FLORES doit permettre de développer et tester des solutions de stockage intelligent pour traiter des contraintes ponctuelles et/ou particulières (congestions estivales par exemple) et favoriser l’injection de gaz verts. Cette solution est complémentaire aux solutions de maillage et rebours. Le programme ambitionne d’accueillir également d’autres possibilités que le stockage pour flexibiliser le réseau (gaz porté, synergie gaz / électricité, etc.).
Deux projets de démonstrateurs de stockages intelligents ont été lancés au sein de ce programme FLORES :
FLORES 1 : un projet d’expérimentation d’un stockage sous forme de gaz liquéfié à proximité du réseau. Il permettrait de stocker jusqu’à 60 000 Nm3 de biométhane.
FLORES 2 : un projet d’expérimentation d’un stockage temporaire comprimé asservi à la consommation d’un industriel (fromagerie en Mayenne). Il permettrait de stocker jusqu’à 15 000 Nm3 et pourrait être déployé sur le réseau, potentiellement en synergie avec un consommateur industriel ou une station GNV (Gaz Naturel Véhicule) utilisatrice de gaz comprimé.

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Un simple «pompage» ne permet généralement pas d'extraire les dépôts qui s’accumulent au fond des cuves d’une installation de méthanisation, il faut donc avoir recours à d’autres techniques.
Suivant l’étude sur les métiers de la méthanisation agricole de la DREA, nous vous donnons, ci-dessous, les 4 solutions techniques utilisées pour extraire les dépots :
Avec une aspiratrice-excavatrice  : Elle permet de prendre le dépôt des déchets et de les sortir de la cuve par tuyau. La technique nécessite de mettre la bouche d’aspiration au contact du dépôt, ainsi  la matière extraite se retrouve sous forme solide. L'aspiratrice-excavatrice Amphitec permet aussi l'aspiration sous vide de divers matériaux poussiéreux, boueux, liquides et même dangereux. Il permet également le refoulement de divers matériaux.
Avec hydrocureur : Des jets de liquide sous pression « décollent » et mettent en mouvement le dépôt à proximité de la bouche d’aspiration qui l’évacue hors de la cuve par un tuyau en mélange avec du liquide. Une séparation de phase mécanique permet de séparer les fractions grossières et les reconcentre sous forme solide (ce qui évite de les remettre dans  une autre fosse en aval). Le liquide est renvoyé par pompage sous forme de puissants jets.
Par curage mécanique direct : Se pratique à l’aide d’une pelleteuse de l’extérieur de la cuve. Cela requiert une situation topographique favorable (cuve béton enterrée). Il y a des risques d’endommager l’ouvrage (béton) ou ses équipements (tuyaux de chauffage).
Par Curage mécanique combiné : Le sédiment est mis dans des bennes qui sont ensuite enlevées par grutage. La première étape se fait à la main dans des petites cuves ou à l’aide d’engins mécaniques de petite taille [mini-chargeuse ou mini-pelle] descendus dans la cuve. La seconde étape se fait à l’aide d’une grue ou une pelleteuse. La grue est préférable lorsque les bennes doivent passer par une trappe de petite dimension.
Les coûts et les durées d'interventions, suivant les solutions techniques : Les données ci-dessous,  sont des fourchettes estimatives basées pour le curage d’un ouvrage de type digesteur de taille moyenne (1500 à 2000 m3) et ne présentant pas difficultés exceptionnelles. (Etude de la DREA en 2019)
Curage mécanique combiné, total : durée 4 à 5 jours - Réalisé par une entreprise : 10 000 à 17 000 € - Organisé (et réalisé) par l’agriculteur : 5 000 à 7 000 € - Organisé (et réalisé) par l’agriculteur, avec accompagnement « savoir-faire et sécurité » : 7 000 à 9 000 € - Curage partiel par camion aspirateur : durée 2 à 3 jours : 5 000 à 7 000 €
Réaliser un curage partiel permet de repousser de plusieurs années un nouveau curage. Cette prestation a plusieurs avantages. Elle se fait en prestation totale et sur une courte durée, ce qui peut permettre de limiter nettement les pertes de recettes consécutives à un arrêt plus long (remontée en température, rétablissement de la biologie...).

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TerégaConstruite en 1974, la canalisation reliant les communes de Villaries (31) et Albi (81) va faire l’objet d’un projet de renouvellement afin de veiller à la sécurité et au maintien de notre réseau de transport de gaz.
Avec près de 70 km de canalisation à renouveler entre les communes de Villariès (31) et Albi (81), le projet REVA (Renouvellement Villariès-Albi) répond à un enjeu de modernisation et de sécurisation de nos infrastructures de transport de gaz en Occitanie. Construite en 1974, la canalisation reliant les deux communes doit être remplacée, et ce, afin de répondre aux exigences réglementaires et techniques. Comme pour l’ensemble des projets de renouvellement et de modernisation de nos infrastructures, Teréga s’engage à contribuer au développement des territoires. Pour le projet REVA, cela passe par le raccordement d’une station de méthanisation (Trifyl) et le raccordement d’une station GNV sur la commune de Saint-Sulpice-la-Pointe (81).
Pour mener à bien le projet REVA, Teréga a volontairement souhaité organiser une concertation préalable du public début 2022. La concertation intervient à un stade du projet où ce dernier entre dans la phase de recherche du tracé. En fonction de ses enseignements, il sera ainsi optimisé. Pour en savoir plus cliquez-ici

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https://images.centrepresseaveyron.fr/api/v1/images/view/620009df3e454630e73ccc76/large/image.jpg?v=1Une dizaine de personnes était présente à la réunion d’information sur la méthanisation organisée par l’association Métha Causses Territoire.
Le président Thierry Cabrolier a expliqué les principes de la méthanisation et la particularité du projet territorial dans l'Aveyron, sur la Communauté de Communes Comtal Lot et Truyère qui sera implanté à proximité de la zone d’activité Bozouls.
Ce projet permettra de traiter les effluents d’élevages de plus de 50 exploitations ainsi que les déchets verts du territoire. Le Bio méthane produit sera injecté directement dans la conduite de distribution de GRDF. La valorisation du digestat (résidus organiques issus de la méthanisation) permettra aux agriculteurs de limiter considérablement l’utilisation d’engrais chimiques.Un projet dans l’air du temps puisqu’il améliorera l’autonomie énergétique du territoire par la production d’énergie renouvelable et limitera une production de gaz à effet de serre équivalente à la consommation de 1000 foyers. Plus de dix emplois direct ou induits non délocalisables seront créés grâce à ce projet.

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A deux ans de l'objectif loi AGEC de mise en œuvre du tri à la source des biodéchets pour tous les producteurs, la FNCCR, l'Agence des Économies Solidaires et GRDF lance un appel à projets en vue de soutenir la valorisation des biodéchets via la méthanisation au profit du développement durable des territoires.
La méthanisation de ces biodéchets est une solution qui offre le double bénéfice d'une valorisation matière et énergétique face aux enjeux d'économie circulaire des territoires. L'une au profit du recyclage de nutriments pour les besoins agronomiques de nos sols et l'autre au profit du verdissement des besoins énergétiques gaz : chaleur et mobilité.
La double valeur permise par la méthanisation des biodéchets suppose toutefois la mise en œuvre de solutions de mobilisation de ces biodéchets. Pour soutenir l'émergence de ces nouvelles solutions, les quatre partenaires lancent un appel à projets. Celui-ci s'adresse aux collectivités et leurs groupements qui projettent la mise en œuvre du tri à la source de leurs biodéchets avant le 1e janvier 2024, avec orientation possible vers la méthanisation. Ils invitent ainsi à étudier les solutions sur tout ou partie des briques de la mobilisation des biodéchets. Pour en savoir plus, consultez le communiqué de presse en cliquant ICI !

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Les eaux usées, future source d'énergie pour l'Agglo de Pau - La République  des Pyrénées.frLa construction des unités de méthanisation et de méthanation fera de l’usine de dépollution des eaux usées de la Communauté d’Agglomération Pau Béarn Pyrénées à Lescar, une véritable station à énergie positive produisant 10 ressources et énergies d’ici 2 ans.
Les boues, autrefois incinérées, serviront entre autres à produire du biométhane pour le gaz de ville mais aussi du biochar utilisé en combustible valorisé dans les réseaux de chaleur de l’agglomération ou bien en compostage pour les cultures. Le CO2 résiduel sera combiné avec de l’hydrogène produit sur place à partir d’électricité renouvelable en partie d’origine photovoltaïque pour en faire du méthane de synthèse. Action innovante de la stratégie neutralité carbone, cet équipement permettra de réduire les émissions de CO2 de l’agglomération de 550t/an. L’usine de dépollution des eaux usées de Lescar joue désormais un rôle clé pour la transition écologique et le dispositif local d’adaptation au changement climatique, à travers ce projet d’économie circulaire inédit et sans équivalent à ce jour. Cliquez-ici pour lire la suite

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Teréga Les clés de succès d'un projet de méthanisation !
Comment bien dimensionner son projet de méthanisation ? Comment optimiser les coûts de raccordement au réseau de gaz ? Pourquoi s’associer à d’autres agriculteurs ? Qui mobiliser autour de son projet ? Si la méthanisation permet de pérenniser le modèle économique d’une exploitation agricole, elle contribue aussi positivement à la vie de son territoire par ses atouts environnementaux et économiques.
C’est pour cela qu’un projet pertinent doit se construire entre agriculteurs, élus, industriels et citoyens. N’hésitez pas à vous rapprocher de Teréga pour vous lancer !

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TerégaTeréga, acteur engagé dans la transition énergétique, devient mécène du projet BIOGAZ initié par le Ministère de l’Éducation Nationale, de la jeunesse et des sports en partenariat avec l’Association Française pour le Développement de l’Enseignement Technique (AFDET).
Ce projet a pour but de sensibiliser les jeunes aux énergies renouvelables et précisément, aux procédés et technologies mis en œuvre au sein de la filière biogaz. La plateforme pédagogique ETINCEL ouverte à l'ensemble des enseignants et du personnel de l'Éducation nationale, dont le Réseau Canopé est le porteur de projet, rendra accessible l’ensemble des ressources pédagogiques réalisées (https://www.reseau-canope.fr/etincel/accueil). Nous nous réjouissons de ce partenariat ambitieux en faveur de la jeunesse et de la transition énergétique dont nous sommes tous acteurs ! En cette période charnière que nous vivons, nous avons à cœur de sensibiliser les jeunes sur ces évolutions positives. Cliquez-ici pour lire la suite

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SUEZ LogoLe SIVOM de la région mulhousienne et SUEZ ont inauguré le Mercredi 24 novembre, une unité de méthanisation à Sausheim (68) pour valoriser 100% des boues d’épuration en gaz vert.
L'unité de méthanisation, située au cœur de l’écopôle de Sausheim (68), permettra de valoriser 100% des boues issues de la station de traitement des eaux usées pour alimenter en gaz vert l’équivalent de 125 bus de l’agglomération. Opérationnelle depuis décembre 2020, l’unité de méthanisation de Sausheim traite les boues d’épuration de 490 000 équivalent-habitants et produit chaque année 2 000 000 Nm3 de biométhane épuré. Ce gaz vert alimentera 44 bus de l’agglomération mulhousienne en 2022, contre 22 aujourd’hui. Pour l’heure, le biométhane non consommé par les bus est destiné aux bâtiments de Mulhouse Alsace Agglomération. L’ensemble de la flotte de bus circulera au biométhane à horizon 2034. Cliquez-ici pour lire le communiqué

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La méthanisation est une filière en plein essor, selon GRDF qui assure le raccordement des sites au réseau gazier, il sera aussi un nouveau débouché pour les entreprises de pose de réseaux.
De nombreux agriculteurs, industriels et collectivités ont déjà fait le choix de la méthanisation. Ils offrent ainsi un nouveau débouché à leur activité, tout en produisant une énergie renouvelable et vertueuse.
Au salon Expobiogaz qui a eu lieu les 01 et 02 septembre 2021 à Metz, GRDF avait présenté pour la première fois sa plateforme digitale «projet méthanisation». A cette occasion, Marie-Françoise l’Huby la Directrice technique et industrielle de GRDF avait dressé un portrait-robot des entreprises possédant des savoir-faire de terrassement et pose de réseaux, capables de tirer du réseau sur des distances de 10 km, voire davantage, afin d’atteindre les stations de biométhane en zones rurales (80 % des producteurs de biométhane sont des agriculteurs).

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